Le groupe a en effet été confronté à des difficultés très importantes (crise sanitaire du covid et guerre en Ukraine à l’origine de la hausse des prix des matières premières et de l’énergie).
Dès l'ouverture de la procédure de redressement judiciaire, les administrateurs judiciaires désignées par le Tribunal de Commerce de ROUEN ont engagé le processus de cession et recherché un acquéreur.
C'est dans ce contexte et l'espoir d'une issue positive que la date du 20 décembre avait été annoncée.
Malheureusement, malgré plusieurs marques d'intérêts, aucune offre n'a été présentée, conduisant le Tribunal à convertir les procédures en liquidation judiciaire sans poursuite d'activité autorisée.